Devant votre propre personne et celle des autres, les cheveux sont bien plus qu’une simple parure. Ils sont le reflet de notre vitalité et de notre féminité. Mais que faire lorsque cette couronne naturelle s’effiloche ? La greffe capillaire se présente comme une solution d’espoir. Mais quand franchir le pas concrètement ? On fait le point ici !
Aux premiers signes d’alopécie
L’alopécie n’épargne pas les femmes. Dès 18 ans, certaines voient leurs cheveux s’éclaircir, surtout au niveau du front et du sommet du crâne. C’est un choc, un deuil silencieux de cette part de féminité. Heureusement, il est possible d’opter pour une clinique greffe de cheveux en turquie par exemple dès les premiers signes.
Il est catalogué trois stades de cette alopécie. Au stade 1, un simple éclaircissement sur le sommet de la tête est visible. C’est là que la greffe devient envisageable. Une intervention précoce peut prévenir une perte plus importante et assurer des résultats naturels.
La méthode de la technique FUL (Follicular Unit Long hair) peut permettre une greffe sans rasage. Une séance de 1200 cheveux au stade 1 peut déjà faire toute la différence.
À la ménopause : restaurez ce que le temps emporte
La ménopause peut aussi marquer un tournant capillaire. L’alopécie s’intensifie, mais ne vous méprenez pas : l’âge n’est pas un obstacle à la greffe. Au contraire, c’est souvent le moment idéal.
Parce que vers 35-40 ans, la calvitie se stabilise généralement. Une chevelure greffée à ce stade a moins de chances d’être inefficace à cause d’une chute continue. Une greffe FUL combinée à un traitement au minoxidil 2 % offre les meilleures chances de succès. Une, voire deux séances de 2000 cheveux peuvent transformer radicalement votre apparence.
Après un trauma capillaire
Parfois, ce n’est pas l’âge, mais vos habitudes qui causent la perte. Les brushings intensifs, les défrisages et les tresses serrées surtout chez les femmes d’origine africaine peuvent mener à une alopécie de traction définitive.
L’idéal est donc d’attendre six mois après l’arrêt total de ces pratiques et d’opter pour l’application de minoxidil 2 %. Si aucune repousse n’est constatée, c’est le signal : la greffe devient votre meilleur allié.
Quand votre santé le permet : la sécurité avant tout
La greffe de cheveux reste une intervention chirurgicale. Votre état de santé général est donc primordial. Une bonne santé augmente vos chances de tolérer l’intervention et le traitement.
Si vous êtes diabétique, un traitement spécifique devra être validé. Aussi, si vous avez des problèmes cardiaques graves, une tendance aux chéloïdes ou si vous êtes épileptique, la greffe pourrait être déconseillée. Le bon moment, c’est quand votre santé vous donne le feu vert.